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Le plus ancien et important rassemblement de voitures anciennes des Pyrénées Orientales Accueil Mentions légales Sorties des Clubs A SAISIR CHARTE DE BONNE CONDUITE CALENDRIER RVA66 A VISITER Bonjour à tous les passionnés de véhicules anciens, rares ou d’exceptions 6 06 2010 - - Prochain rassemblement le Dimanche 3 novembre 2019 Le 249 ème - C A R R E D ‘ O R 9 h / 12 h CHÂTEAU ROUSSILLON - Voir album « Lieu du rassemblement, accès, horaires et emplacements » - Merci de respecter les personnels en orange qui vous guident - Pour mettre fin à ceux qui n’ont pas l’esprit du rassemblement et qui ne respectent pas le travail de l’organisateur. Cette personne n’a pas l’esprit du rassemblement Un autocollant sera peut être déposé sur le véhicule malfaisant ! - Pour les visiteurs P arkings supermarché Carrefour et Banque Populaire (coté Porsche) - Les exposants … AUTO-disciplinez vous ! Emplacement par thème (ancêtres, populaires, américaines, motos …) A partir de 10 h 30 emplacement libre - Lire la charte de bonne conduite Réglementation pour les véhicules de moins de 30 ans. Conduite à tenir en cas de feu de véhicule. - Les autos et motos de collection peuvent de temps en temps marquer leurs territoires en déposant sur les sols quelques goutent d’huile. Des tapis sont mis à la disposition des exposants qui se garent sur le bitume rouge afin d’éviter les taches, merci - L’autocollant RVA66 est disponible, 1 euro se renseigner auprès de l’organisateur offert aux conductrices - Nouveau - Venez vendre, le 1er dimanche du mois, vos pièces, accessoires, documents, miniatures, … La vente de véhicules est interdite Règlement, voir Charte de bonne conduite - www.latitine202.unblog.fr Même pas besoin de la clef originale Peugeot - - - - 50 ans cette année - Capestang (34) Rassemblement le dernier dimanche du mois - Prochainement - La couleur officielle des Ferrari est-elle le jaune ou le rouge ? Effectuer un retour sur la fabuleuse histoire de Ferrari va vous permettre d’y voir plus clair. A l’origine, la Scuderia Ferrari est une filiale d’Alfa Roméo dont elle prépare les voitures pour des pilotes privés. Enzo Ferrari, pilote ingénieur chez Alfa, quitte l’écurie et fonde Ferrari en 1947. L’usine est située à Modène. Le logo de la Scuderia Ferrari représente un cheval cabré sur fond jaune (couleur de la ville de Modène où est né Enzo Ferrari) et les couleurs de l’Italie à son sommet. Le cheval cabré était l’emblème personnel de Francesco Baracca, pilote héroïque décédé au cours de la première guerre mondiale. Enzo Ferrari rencontra en 1923 le comte Enrico Baracca dont la femme, la comtesse Paulina, lui dit un jour « Mets sur tes machines le cavallino rampante de mon fils. Il te portera bonheur ». En 1947, la première voiture portant la marque Ferrari est la 125 S. La Scuderia se charge de l’engager en compétition. Cette première Ferrari est de couleur rouge puisque depuis le début du siècle toutes les voitures portent, lors des Grand-Prix, la couleur de leur pays. L’origine de ces couleurs viendrait de la Coupe automobile Gordon Bennett qui se déroule pendant la période 1900-1905 et où se confrontent des équipes nationales auxquelles on attribue des couleurs pour les distinguer. Elles deviennent définitives pendant les années 1920 et 1930. C’est le rouge pour l’Italie, le bleu France pour les Bugatti, le vert pour le Royaume-Uni, le blanc pour l’Allemagne ou l’argent (ou gris métallique). En effet, le 3 juin 1934, la firme Mercedes est contrainte de poncer jusqu’à la tôle nue ses voitures W25 initialement blanches pour pouvoir atteindre le poids maximum autorisé, en excès d’un petit kilogramme. Ainsi naissent les «Flèches d’Argent», avec leur carrosserie en aluminium nu et poli. La Belgique est en jaune, le Japon blanc ivoire avec un « soleil » rouge et les Etats-Unis blanc avec des rayures longitudinales bleues ou bleu avec des rayures longitudinales blanches. Lors du championnat du monde de Formule 1 de 1968, consciente des coûts de plus en plus élevés de la compétition, la commission sportive internationale de la FIA autorise les équipes à avoir recours au sponsoring. Le vieux code de couleurs semble avoir vécu, même si certaines écuries chercheront à signer des contrats avec des firmes dont les couleurs sont proches de leur livrée nationale. A la fin des années 50, quand Ferrari a commencé à produire en série, sur 1000 Ferrari vendues, 348 étaient grises, 154 exemplaires étaient bleus et 126 blancs. Le rouge (99 exemplaires) ne vient qu’en quatrième position devant le noir (70). Le jaune était très rare puisque seulement 10 exemplaires étaient colorés ainsi. Au fil du temps, même si le nuancier Ferrari propose un même nombre de teintes, 20, l’éventail de couleurs choisies par les clients s’est resserré, la proportion du rouge n’a cessé de croître, elle est ainsi devenue la couleur favorite. Plus de 40 variétés de rouge depuis la création de la marque ont vu le jour. En résumé, le jaune est bien la couleur « officielle » de Ferrari selon la volonté d’Enzo Ferrari. Cependant, la couleur rouge, couleur des voitures italiennes de Grand-Prix, est la plus demandée pour une Ferrari de route. Aujourd’hui, sur 1000 Ferrari produites, 421 sont rouges et 74 sont jaunes. Il est vrai que le rouge lui va à ravir ! = Prochain article : Etes-vous plutôt Lion ou plutôt Losange ? - - LE VEHICULE DU MOIS LADA NIVA Moteur essence - 4 cylindres 1 700 cm3 - 81 cv Transmission intégrale - Boîte manuelle 5 rapports (1985) Carbu et injection monopoint et multipoint Poids à vide 1 270 kg Vitesse maximale 137 km/h Consommation mixte 9,5 L/100 km Au début des années 1970, l’automobile en Union soviétique connaît une forte croissance. La naissance des Usines automobiles de la Volga (VAZ) à Togliatti et ses premiers modèles dérivés de la Fiat 124 permettent à un grand nombre de personnes d’acheter une première voiture. Toutefois, malgré leur robustesse, ces modèles ne sont pas conçus pour la conduite en dehors de routes asphaltées, bien rares en URSS. Les véhicules tout-terrains produits par l’usine ne sont pas vendus aux particuliers, il faut donc concevoir un 4×4 russe populaire. Le projet VAZ 21211 démarre dès 1971, il prend d’abord la forme d’une classique Jeep. Il faut attendre 1973 pour voir le résultat de ces changements. La carrosserie est entièrement en tôle, vitrée, avec deux portes et un hayon, le moteur est un 1600 cm3 mais surtout la caisse est autoporteuse, les roues avant sont indépendantes et la transmission est intégrale en permanence avec la possibilité de blocage du différentiel central. Des solutions techniques révolutionnaires pour l’époque. Il en résulte des performances certes modestes sur routes mais exceptionnelles en tout-terrain (pentes 58 %, gués de 60 cm et neige jusqu’à 1 m). En 1976, la Lada 2121 est née. Elle est baptisée « Niva », (champ de blé en russe). La production en série commence un an plus tard. Il faut attendre le Salon de Paris 1978 pour que le modèle soit disponible en Europe. Légère, compacte, robuste, passe-partout, et économique, la Niva conjugue des qualités alors inconnues sur un 4×4. Le premier mois de vente, 40 % de part de marché en Europe, elle devient rapidement un objet de mode en Europe, on frime à son volant. Une version cabriolet signée par le carrossier français Wassermann trouve le jour et des séries spéciales commencent à se multiplier : « Grand Large », « Paris-Saint-Raphaël », « Field », « Olympe », « St-Tropez », « Oryx », « Deauville », « Tinga », « Taïga », « Safari », « Randonnée », « Cossack », « Passion » et « Collection », malgré des sièges inconfortables, une fermeture des portes qui produit une sonorité particulièrement et une forte odeur d’essence envahissant l’habitacle. Dès sa commercialisation, la Niva attire l’attention d’amateurs d’un sport nouveau, le rallye raid. En 1985, la boîte de vitesses compte désormais 5 rapports. Le vieux bloc Fiat à carburateur cède la place à un 1700 cm³ dix an plus tard, il sera imméd
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